Initiative d'un groupe de Grecs, qui vivent et travaillent à Bruxelles, et qui visent à informer le public belge des luttes actuelles en Grèce et de créer une vraie solidarité entre les luttes qui ont lieu dans notre pays natal et celles de notre 'deuxième' patrie.
Le mercredi 14 décembre, notre Initiative a fait une présentation aux étudiants Master du département de Communication & Médias de l'ULB sur la façon dont les médias grecs ont couvert la crise. Cette présentation s' inscrit dans un cycle de séminaires au sein du programme Master qui se penche, cette année, à la crise et son image dans les médias.
Notre intervention a été divisée en trois parties: la présentation de notre Initiative; la façon dont la crise en Grèce a été présentée par les médias grecs; le rôle et l'activité des medias sociux en Grèce.
En somme, les grands médias en Grèce ont traité et continuent de traiter la crise économique et politique de façon conforme à la politique du gouvernement et aux intérêts des élites économiques. De l'autre côté, les médias sociaux citoyens ont effectivement cassé le monopole des grands médias et facilité la coordination des actions de résistance, et en même temprs ils ont permis la diffusion d'informations truquées ou cachées par les médias officiels.
Le 26 novembre 2011, Dora Bakoyiannis (député grecque et leader du parti libéral Coalition Démocratique) et Yiannis Pretenderis (journaliste et opinion maker grec) ont été invités au Forum du journal Libération, à une table ronde sur la Grèce. Des étudiants et travailleurs grecs résidants à Lyon, ont intervenu à la conférence.
De même, le 30 novembre 2011, des grecs résidant à Berlin, ont intervenu à un événement organisé par l'Association de la Communauté grecque de Berlin, auquel des députés ont été invités.
Aussi, le 16 décembre, Real Democracy Now - Berlin/GR intervient lors de la participation de Thodoros Pangkalos, vice-président du gouvernement grec, à la Conférence "Diplomatie Culturelle".
L'intervention s'inscrit dans le cadre de la solidarité avec les grévistes des Aciéries grecques.
245 euros lors de la soirée de solidarité que nous avons organisé le 3 décembre, pendant laquelle le film "Z" a été projecté et une connection avec la soirée organisée à Athènes a été réalisée: pendant cette connection, nous avons avec un répresentant des grévistes.
Charis, le répresentant des grévistes discuttent avec l'eventement de Bruxelles
272,4 euros à la conférence sur "l'arnaque de la dette publicque", organisée par la FGTB, la CSC, la MOC, la CADTM et la LCR. Nous voudrions remercier très chaleureusement les organisateurs pour nous avoir cedé la tribune et pour leur soutien.
340 euros par les membres et amis de l'Initiative.
L'Initiative de Solidarité à la Grèce qui résiste soutient les 400 travailleurs des 'ACIERIES GRECQUES' et organise une soirée de solidarité afin de récolter des fonds pour soutenir leur grève.
La direction des 'ACIERIES GRECQUES' s'appuie aux lois antisociaux adoptées récemment par le gouvernement grec sous les instructions de la Commission Européenne pour violer la convention collective, et tente de limiter le temps du travail à 5 heures par jour et d'imposer des réductions qui feront tomber les salaires à 500 euros par mois.
L'employeur menace les travailleurs que, si ils n'acceptent pas telles mesures, la moitié parmi eux vont se faire licencier.
Quand les travailleurs ont entamé leurs mobilisations, l'employeur en a déjà mis 34 parmi ceux qui étaient les plus actifs à la porte.
Les 400 travailleurs ont donné une réponse unie en commençant une grève qui dure depuis le début novembre. Ils demandent l'annulation des licenciements et du plan de restructuration, qui n'est d'ailleurs pas justifiable dans une compagnie qui présente toujours des profits.
La lutte de ces travailleurs est cruciale pour l'avenir des conventions collectives pas seulement en Grèce mais partout en Europe, où les mesures d'austérité arrivent aussi à grand pas.
Les grévistes ont besoin de soutien financier pour pouvoir durer aussi longtemps qu'il faudra pour gagner.
Rejoignez-nous à une soirée de solidarité le samedi 3 décembre vers 20h à l'Espace Marx (Rue Rouppe 4, 1000 Bruxelles) avec le soutien de l'AssociationCulturelle Joseph Jacquemotte
Au programme:
a) Projection du film 'Z' de Costas Gavras (1969), basé sur une vraie histoire de l'assassinat d'un député de la Gauche en Grèce sur fond de répression gouvernementale et dans l'ambiance politique turbulente des années 60.
b) Connexion en directe avec une autre soirée de solidarité à Athènes, et débat avec un des travailleurs des aciéries pour les dernières nouvelles sur leur lutte.
c) Fête musicale avec concert et DJs
EN
SOLIDARITY EVENT TO THE 'GREEK STEELWORKS' STRIKERS
Saturday 03/12/2011 at 20:00 in Espace Marx (Rue Rouppe 4, 1000 Brussels)
The Initiative of Solidarity to the Greek people is supporting the 400 workers of "GREEK STEELWORKS” and is organising a solidarity event to raise money for supporting their strike.
The direction of "GREEK STEELWORKS” based on the anti-labour laws recently passed by the Greek government under the instructions of the European Commission violates the collective agreement and attempts to impose a 5-hour working day and 40% wage cuts which will mean for workers an income of 500 per month.
The employer threatens the workers that they have to choose between this or firing half of them.
When workers started mobilising, the employer fired 34 of the most active amongst them.
The 400 workers gave a united answer by starting a strike that goes on since the beginning of November. They demand the withdrawal of the lay-offs and of the restructuring plan, which cannot be justified, given that the factory was profitable.
These workers’ struggle is crucial for the future of collective agreements not only inGreece but all over Europe.
Strikers need economic support to be able to last as long as necessary to win.
Join us in a solidarity event on Saturday 03/12/2011 around 20h00 in Espace Marx (Rue Rouppe 4, 1000 Brussels with the support of Association Culturelle JosephJacquemotte
In the programme:
a) Screening of the film "Z" by Costas Gavras (1969), based on the true story of the murder of a Greek left-wing MP against the background of the Greek government repression and the turbulent political atmosphere of the '60s.
b) Live connection with another solidarity event taking place in Athens, anddiscussion with a steelworker for the latest updates on the struggle. c) Live concert and DJs
Pendant les deux dernières années un véritable carnage social accompagne les prêts de la troïka. Les salaires moyens se sont effondrés de 40% depuis 2010. Des milliers de contrats de travail à temps plein ont été reconvertis en contrats à temps partiel, travail 'flexible', tandis 16,000 fonctionnaires se sont déjà mis en 'chômage technique'. 60% des salariés en Grèce vivent au dessous du seuil de pauvreté. De nouvelles taxes indirectes tombent tous les jours sur le dos du peuple grec, tandis que l'injustice fiscale ne fait qu'agrandir.
400 metallos - travailleurs des “ACIERIES GRECQUES” (Helliniki Halivourgia) sont en grève depuis 24 jours. L'Initiative vous invite à contribuer à leur bataille juste pour un travail et un salaire dignes en faisant un virement au compte bancaire suivant:
Chers collègues, entendez la voix des Métallurgistes !
Nous, les 400 travailleurs des “ACERIES GRECQUES” (Helliniki Halivourgia), nous sommes en grève, comme un poing, pour le 16ème jour. Et nous continuons ! Nous ne reculons pas, nous avons choisi le chemin de l’honneur et de la dignité, pour défendre le pain et l’avenir de nos enfants.
Nous ne retournons pas au travail, dans le feu et le fer, pour 500€. Nous demandons que nos 34 collègues, qui ont été licenciés, reprennent le travail. Notre lutte concerne la classe ouvrière tout entière.
L’employeur des « ACIERIES GRECQUES » est le bélier de combat des industriels.
Les « ACIERIES GRECQUES » sont la première industrie qui tente d’imposer la journée de travail de 5 heures avec des réductions de salaire, la flexibilité de l’emploi, les heures supplémentaires non rémunérées et la suppression des droits à la sécurité par le chantage à la perte de nos emplois.
Les licenciements ont été faits pour nous terroriser, parce que lors de notre Assemblée Générale nous avons rejeté à l’unanimité la demande des employeurs pour le travail à temps partiel, 5 heures par jour, avec un salaire réduit de 40 %. En même temps notre dur travail a fait augmenter la production l’an dernier de 196 000 à 266 000 tonnes, et la pénibilité du travail avec des accidents de travail quotidiens et un travailleur mort.
[Εδώ ενημέρωση στα ελληνικά από τις κινητοποιήσεις σε ευρωπαϊκές πόλεις στις 17 Νοέμβρη 2011.]
L'Initiative de solidarité à la Grèce de Bruxelles organise un rassemblement protestataire le 17 novembre de 17h à 18h30 devant l'Ambassade de la Grèce (Rue des Petits Carmes 6, 1000 Bruxelles) avec la participation des Indignés et de syndicalistes de base belges.
Le rassemblement est solidaire aux manifestations de masse en Grèce, à l'occasion de l'anniversaire de la révolte contre la dictature en 1973.
1973: La Grèce sous Dictature Militaire, un régime qui anéantit les droits et libertés civiles. Au mois de novembre 1973 des étudiants Grecs sont sortis dans les rues pour manifester, et se sont vite rejoints par des milliers d'ouvriers et de gens de tous les âges, pour protester à l'intérieur et autour de l'Université Polytechnique d'Athènes. Le tollé soulevé à la suite de la répression violente de ce mouvement par la junte a conduit à la chute de cette dernière en 1974.
2011: Le peuple grec renverse un Premier Ministre qui a implémenté un programme d'austérité sur lequel il n'a pas été voté, imposé des mesures injustes, cédé la souveraineté populaire et violé la Constitution de façon systématique. Suite à la chute du gouvernement, le peuple Grec voit maintenant un gouvernement de coalition lui étant imposé, avec une personne non élue en tête, voir l'ex Vice-président de la BCE et membre de plusieurs groupes de lobby des élites, rejoints par des ex-cadres de la dictature militaire.
Watch this great report from the ground on the successful two-day strike of 19 and 20 October. This was also the biggest demonstration in Greece since 1974 with more than 250,000 demonstrators. It contributed perhaps the most in forcing unpopular Papandreou to resign, but it cost the labour movement one dead demonstrator killed in a clash with a group infiltrated by secret police.
Appel de l’Initiative de Solidarité à la Grèce qui Résiste à unrassemblement protestataire devant l'Ambassade de la Grèce,
Rue des Petits Carmes 6, 1000 Bruxelles
Comme en 1973 les étudiants se sont révoltés contrela junte militaire,
Résistons aujourd'hui contre la nouvelle junte desbanquiers!
Le 17 novembre en Grèce symbolise la révolte des étudiants, rejoints en 1973 par des travailleurs et autres citoyens, pour renverser la junte des colonels imposée par des forces externes pour 'garantir la paix sociale dans le pays'. Aujourd'hui, 37 ans après l'établissement de la démocratie, des cadres de la dictature militaire prennent des postes dans le nouveau gouvernement: Makis Voridis avait été designé chef de la jeuneuse d'un parti fasciste par l'ex-dictateur Papadopoulos en personne quand il a été en prison en 1984 et Georgios Georgiou était le représentant de la junte militaire auprès du commandement de l'OTAN à Naples en 1973. L'ex Vice Président de la BCE et membre du lobby anti-démocratique ''Trilateral Commission'', M Loukas Papademos, est designé au poste de premier ministre pour une période indéterminée, sans jamais avoir été élu ni soumis à une élection démocratique. Cette nouvelle junte, qui est celle des banquiers, est imposée par la Troika (UE-FMI-BCE) au peuple grec. M. Papdemos est mis en tête d'un gouvernement de 'sauvetage' par un front formé sous les dictats de l'UE par les socialdemocrates, les conservateurs et l’extrême droite, afin de passer en coup de fer les nouvelles mesures qui accompagnent le nouveau prêt accordé lors du sommet du 26 octobre.
Le but de ce prêt, comme de ceux d'avant, n'est pasde sauver le peuple grec. Par contre, tous ces prêts visent à rassurer lepaiement aux banquiers d’une dette illégitime dont n’ont bénéficié que lesélites politiques et économiques, et àconstruire une compétitivité « à la tiers-monde » dans le pays à labase du bas salaire et de la misère sociale.
Le 15 octobre a eu lieu le meeting des Comités d'Action - Europe. Presque 300 personnes ont suivi le débat. auquel ont participé:
Felipe Van Keirsbilck (Centrale Nationale des Employés), Paul Lootens (FGTB), Guy Tordeur (CSC - BHV), Luis Casillas (Centrale Metallurgistes Wallonie), Yiorgos Vassalos (Initiative de Solidarité à la Grèce qui résiste) et Carlos Lancharro Rodriguez (Indignés).
On Monday, 24 October, Mr. Jean-Claude Trichet was invited for a speech at Humbolt University in Berlin. Students and members of Real Democracy Now! Berlina/GR welcomed him according to their own plan:
Here's what they said:
Dear Mr Trichet,
We would like to thank you for sharing with us your vision for Europe. In fact, coming from Greece, we think we can already understand it better than many others. And we would like to tell you that the Greek people are also sharing your vision, and that they are going through lots of sacrifices to help you bring it to life. They no longer want to earn decent wages or educate their children. They prefer giving all they have to pay their debts. They have even started selling – at any price – all public property that can be sold for this reason. They are even ready to give their lives for your vision. They no longer need health care. Paying loan interests is much more important. So they shut down hospitals. And they prefer suicide instead. Suicide rate in Greece has increased 40%.
Some would say that the Greeks deserve what came upon them. We couldn’t agree more. That’s why we would like to thank you, for making us pay our debts instead of paying for our own decent survival. We want to assure you, that we’ll keep paying until we starve and our whole economy becomes a ruin. And we thank you from the bottoms of our hearts for your precious help through loans. You have to be sure, that every single dime you give us will come back to you and to the banks you are protecting. In high interest. Because through our sacrifice, we can keep the banks safe and unaccountable. Through our sacrifice, we make your dream of Europe come true“
Le 23 octobre, à propos du Sommet européen qui aurait trouvé une solution pour le "problème grec" et la crise de la zone euro, l'Initiative de Solidarité, les Indignés grecs et les Indignés belges ont organisé un "accueil" au Premier Ministre grec qui, à l'instar des mobilisations importantes en Gréce, le 19 et 20 octobre, lors de la grève générale.
Travailleurs de Grèce et de Belgique : même combat
"Contre les mesures anti-populaires du capital, des gouvernements et de l'Union européenne". C'est le mot d'ordre de la mobilisation du 19 octobre prochain organisée par le PTB et le parti communiste de Grèce (KKE). Voici leur communiqué.
Les travailleurs de Grèce, des secteurs public et privé, seront en grève générale ce 19 octobre. Ils protestent contre les mesures d'austérité qui affectent durement les travailleurs et leurs familles. Ces mesures sont mises en œuvre par le gouvernement grec en accord avec l'Union européenne et le FMI, au profit des multinationales.
Parmi ces mesures, la baisse généralisée des salaires des ouvriers, employés et fonctionnaires, la réduction drastique des pensions (35%) et allocations, la hausse des taxes et de la TVA, la privatisation des transports et de l'énergie et l'augmentation des coûts des services. Cela entraîne une hausse du chômage et une baisse dramatique du pouvoir d'achat des travailleurs. Les pensions minimum sont désormais de 400 euros et le salaire minimum des jeunes de 500 euros. C'est la misère généralisée pour le peuple. Par contre, les riches sont épargnés et renforcés. Si l'État grec a une dette de 350 milliards d'euros, les capitalistes grecs ont déposé près de 600 milliards d'euros dans des banques suisses.
Aujourd'hui, des mesures semblables menacent l'ensemble des travailleurs d'Europe, aussi en Belgique.
C'est pourquoi la lutte des travailleurs de Grèce, impulsée par le mouvement syndical PAME (Front militant des travailleurs) et le Parti Communiste de Grèce (KKE) est la nôtre.
Le Parti du Travail de Belgique (PTB) et le KKE-Belgique vous invitent à manifester votre soutien aux travailleurs de Grèce en lutte.
Rassemblement le mercredi 19 octobre à 17h30 au Rond Point Schuman
(face au Conseil des ministres de l'Union européenne)
Action of the Solidarity Initiative at an event on EU economic governance organised by the 'Greek Community' of Brussels with the presence of MEPs, on 11th October 2011.
Vous pouvez trouver ci dessous une video d'une petite action realisée la semaine dernière avec M Exoneredimpotpoulos qui a intervenu lors d'un debat de la Communauté Hellenique de Bruxelles sur la gouvernance économique de l'UE en presence des Eurodeputés Grecs.
Avec sous titres francais (cliquer sur la flêche, puis sur la petite touche "cc" en bas a droite de l'image).
ENJEUX ET ACTIONS POUR PLUS DE JUSTICE SOCIALE Samedi 15 octobre de 11h à 13h, rue du Poinçon 16, 1000 Bruxelles avec Felipe Van Keirsbilck (Centrale Nationale des Employés), Paul Lootens (FGTB), Guy Tordeur (CSC - BHV), Luis Casillas (Centrale Metallurgistes Wallonie), Yiorgos Vassalos (Initiative de Solidarité à la Grèce qui résiste) et Carlos Lancharro Rodriguez (Indignés).
Nous rejoindrons ensuite la manifestation des Indignés qui démarre de la Gare du Nord à 14h
DE INZET VAN ONZE STRIJD : SOCIALE RECHTVAARDIGHEID Zaterdag 15 oktober van 11 tot 13u, Priemstraat, 16, 1000 Brussel Met Felipe Van Keirsbilck, Paul Lootens, Guy Tordeur, Luis Casillas, Yiorgos Vassalos en Carlos Lancharro Rodriguez.
Χτες, 11 Οκτωβρίου, η Ελληνική Κοινότητα Βρυξελλών οργάνωσε εκδήλωση με καλεσμένους ευρωβουλευτές, με στόχο να παρουσιάσουν την Ευρωπαϊκή Οικονομική Διακυβέρνηση, που στο τέλος Σεπτεμβρίου υπερψηφίστηκε από το Ευρωκοινοβούλιο, και τις θέσεις των κομμάτων τους σχετικά.
Στην εκδήλωση παραβρέθηκαν, κατά σειρά εμφάνισης, ο Γιώργος Τούσσας από το ΚΚΕ, ο Νίκος Χουντής από το ΣΥΡΙΖΑ, ο Μιχάλης Τρεμόπουλος από τους Οικολόγους και, αφιχθής με αρκετή καθυστέρηση, ο Γιώργος Παπανικολάου από τη ΝΔ. Το δρόμο για την εκδήλωση δεν βρήκαν οι κυβερνητικές δυνάμεις, δηλαδή η Συλβάνα Ράπτη και ο Σπύρος Δανέλλης από το ΠΑΣΟΚ, και ο Νίκος Σαλαβράκος από το ΛΑΟΣ.
Στα πλαίσια των ερωτήσεων/παρεμβάσεων που ακολούθησαν τις τοποθετήσεις των Ευρωβουλευτών, η Πρωτοβουλία Αλληλεγγύης στην Ελλάδα που αντιστέκεται, εκπροσωπόντας την Ένωση Αγανακτισμένων Βιομηχάνων, συνεχάρη τις κυβερνητικές δυνάμεις για το μέχρι τώρα έργο τους και για τα μέτρα που "είναι προς τη σωστή κατεύθυνση", δήλωσε την ικανοποίησή της για την εξοικονόμηση χρημάτων, τις σωστές περικοπές και τη δίκαιη φορολόγηση της μπουγάτσας, αλλά τόνισε πως χρειάζονται κι άλλα μέτρα προκειμένου να καταργηθούν επιτέλους οι διαδηλώσεις και οι απεργίες και παρότρυνε την Κυβέρνηση να προμηθευτεί περισσότερα χημικά και να τολμήσει να συγκρουστεί επιτέλους με τις δυνάμεις της συντήρησης.
Καταλήγοντας, η Πρωτοβουλία σκόπευε να προσφέρει στον εκπρόσωπο του ΠΑΣΟΚ ένα ελικόπτερο, με το σκεπτικό πως σύντομα η Κυβέρνηση θα το χρειαστεί. 'Ομως, οι δυνάμεις τάξης και ασφαλείας της αίθουσας παρεμπόδισαν σθεναρά την δαρμένη και πασαλειμένη με μααλόξ διαδηλώτρια που μετέφερε το ελικόπτερο.
Dimanche 9 octobre, l'Initiative de Solidarité à la Grèce qui resiste a présenté un atelier dans le cadre de la semaine des Indignados: l'atelier portait sur la situation actuelle en Grèce, les raisons de la crise, les mésures qui ont déjà été prises et les mouvements de résistance.
Nous avons analysé le contenu de la décision du Sommet du 21 juillet, le statut de tutelle dans lequel se trouve le pays actuellement et les conséquences sur le peuple grec au niveau quotidien: le chômage qui touche le 20%, les réduction de salaires et pensions qui arrivent à 30% et vont encore augmenter, mais aussi le refus des gens de payer les taxes injustes, les grèves, les manifestations et la violence policière extreme.
Dans le cadre de la "Semaine des Indignés" (8-15 Octobre), l'Initiative de solidarité à la Grèce qui résiste présentera un atélier sur la Grèce le 9 Octobre au campement (parc Elisabeth) à 16h.
In the framework of the "Indignados week" (8-15 October) the Solidarity Initiative to Greece will present a workshop on Greece on 9 October at the camp (park Elisabeth) at 4 pm.
Workshop
''Greece: the bankers' wishes win over democracy''
Who? The Initiative of Solidarity to resisting Greece
When?Sunday 9 October, 16h
Where ?Park Elisabeth (Simonis)
Aim ?
Inform participants on the situation inGree
ceand show the links with past experiences and with those of other European peoples in struggle.
Contribute towards building up of a Pan-european solidarity in order to resist to the attacks against democracy and to claim an alternative society.
Form?
Oral presentation of 30 minutes followed by a Q&A session + debate with participants
Projection of photos / videos in the background for the duration of the Workshop
Le 15 octobre, l'Initiative participe au meeting des Comités Action Europe, qui aura lieu de 11h à 13h, rue du Poinçon 16, 1000 Bruxelles.
Les intervenants au meeting sont:
Felipe Van Keirsbilck (CSC), Paul Lootens (FGTB), Guy Tordeur (CSC), Luis Casillas (FGTB), Yiorgos Vassalos (Initiative de Solidarité à la Gréce qui resiste) et Carlos Lancharro Rodriguez (mouvement des Indignés).
Les participants rejoindront ensuite la manifestation des Indignés qui démarre de la Gare du Nord à 14h.
Réalisé en quelques semaines avec un budget militant, à la fois percutant et bien documenté,
Debtocracy retrace l’histoire de la dette grecque et montre comment les élites utilisent celle-ci
pour s’attaquer aux conquêtes sociales.
Comparant la situation de la Grèce aux cas de l’Équateur et de l’Argentine au début des années 2000, les auteurs indiquent quelques-uns des moyens dont nous disposons pour ne pas payer cette dette.
Et en Belgique, qu’est-ce qui nous attend et que peut-on faire ?
Samedi 1er octobre
Centre Culturel de Schaerbeek
91-93, rue de Locht • 1030 Bruxelles
Ouverture des portes (auberge espagnole « à la grecque ») : 18h30
Με πρωτοβουλία του «Εδώ Πολυτεχνείο», φοιτητές από το Πάντειο, το ΕΜΠ, το Φυσικό και το TEI Πειραιά, καθώς και οι ιστοσελίδες Αφορμή, Αlterthess, Βαθύ Κόκκινο, Η Λέσχη, Παραλληλογράφος και Red Notebook συζητούν για τις καταλήψεις στα πανεπιστήμια και το νόμο Διαμαντοπούλου-Γεωργιάδη
Rassemblement protestataire de solidarité et session d’information sur la lutte du peuple grec
-Mardi 5 juillet, 12.30 devant l’Ambassade de Grèce Rue des Petits Carmes 6, Bruxelles1000 – Rassemblement protestatairepour condamner les mesures anti-sociales et la barbarie policière:on ne veut plus de prêts! Cessation de paiements aux banques, afin de garantir la survie du peuple!
- Vendredi 8 juillet, 18.00 Espace Marx, rue Rouppe 4, Bruxelles 1000: Soirée d’information en coopération avec l’Association Culturelle Joseph Jacquemotte sur le mouvement et projection des vidéos et photos qui font preuve d’une activité illégale de la police et des agents-provocateurs pour réprimer les manifestants.
‘La Belgique gagne des sous sur le dos des pauvres Grecs’ tel était la une du ‘De Standaard’ le 23 juin 2011. Selon le cabinet du ministre Didier Reynders, en 2011 la Belgique a encaissé 75 millions d’Euros d’intérêts de la part de la Grèce.[2]Telle est la fameuse solidarité européenne alors que la grande majorité du peuple grec voit leur revenu chuter de 10 à 30%. Cet argent empoché par l’état belge ne va pas non plus arrêter la régression sociale en Belgique: les recommandations de la Commission Européenne pour 2012prévoient l’abolition de l’indexation et des prépensions.
C’est contre de telles injustices sociales frappantes, et avec des dimensions paneuropéennes, que le peuple grec lutte, et propose des alternatives, comme la cessation de paiements aux banquiers (comme en Islande) et la nationalisation des banques.
Pendant la grève générale de 48 heures le 28 et 29 juin, le nouveau mouvement des assemblées populaires s’est rencontré avec les forces syndicales combatives. Le rejet des dits ‘plans de sauvetage’ par la société grecque est généralisé. Le gouvernement, en état de panique a utilisé sa seule “arme”: la violence policière, la répression brutale dans les rues et les places. La police a utilisé des gaz lacrymogènes interdits, a attaqué un centre médical de la Croix Rouge à la place Syntagma et coopéré avec des agents provocateurs pour déclencher la violence.
Amnesty International a condamné cette violence, tandis qu’un expert des Nations Unis a sonné l’alarme concernant la menace que les mesures d’austérité présentent pour les droits de l’homme en Grèce (notamment l’accès à la nourriture, l’eau et le travail).
Le gouvernement grec et la troïka (UE-BCE-FMI) espèrent que la violence va freiner l’opposition décisive des travailleurs et du peuple grec et son combat pour une démocratie réelle. La Commission européenne est complice morale de cette violence policière car pendant toute cette dernière période elle a exigé l’adoption du deuxième plan d’austérité coûte que coûte.
Les luttes du peuple grec vont balayer le gouvernement et les forces politiques qui les soutiennent.
Parce que la solidarité a toujours été et restera la première des armes des peuples ;
Parce qu’aucune lutte n’est isolée;
Comme nos camarades dans plusieurs villes européennes l'ont fait la semaine dernière,
l'Initiative de solidarité à la Grèce qui résiste appelle à :
1. un rassemblement protestataire devant l'ambassade grecque, le mardi 5 juillet à 12h30 (Rue des Petits Carmes 10), pour condamner les mesures anti-sociales et la barbarie policière.
2. une session d’information avec matériel visuel pour journalistes et citoyens intéressés, le vendredi 8 juillet à 18h (Rue Rouppe 4).
La solidarité est l’arme des peuples !
Initiative de Solidarité à la Grèce qui Résiste – Bruxelles
http://solidarity-greece.blogspot.com/
Solidarity rally and information session about the struggle of the Greek people
- Tuesday 5th July, 12.30 in front of the Greek Embassy, Rue des Petits Carmes 6, Bruxelles 1000 – Protest rally: we don’t want any more loans! Stop payments to the banks[1] in order to ensure the survival of the people!
- Friday 8th July, 18.00 Espace Marx, rue Rouppe 4, Bruxelles 1000, in cooperation with Association Culturelle Joseph Jacquemotte: Information session on the Greek movement and projection of video and photographic evidence of illegal activities for the part of the police and the agents provocateurs for the repression of the demonstrators
‘Belgium makes money at the expense of the poor Greeks’. This was the headline of ‘De Standaard’ on 23rd June 2011. As was stated by Minister Didier Reynders’ office, in 2011 Belgium earned 75-million Euro interests from the Greek bail out loan.Such is the notorious ‘European solidarity’, while the vast majority of the Greek people see their income fall by 10 to 30%. However, this money, pocketed by the Belgian state, will not stop social decline in Belgium: the recommendations of the European Commission for 2012provide for the abolition of salary indexation and of early retirement.
It’s against such striking social injustices with pan-European dimensions that the Greek people struggle, and propose alternatives, such as ceasing the payments to the bankers and the nationalising the banks.
During the 48-hour general strike on 28th and 29th June, the new movement of the people’s assemblies met with the combative trade union forces. The rejection of the so-called ‘bailout plans’ by the Greek society is generalised. The government, in a state of panic, used its only “weapon”: police violence, brutal repression in the streets and squares. The police used forbidden tear gas, attacked a medical centre of the Red Cross on Syntagma square and cooperated with agents provocateurs in order to trigger violence.
Amnesty International condemned this violence, while a United Nations expert sounded the alarm concerning the threat posed by the austerity measures to human rights in Greece (notably access to food, water and work).
The Greek government and the troika (EU-ECB-IMF) are hoping that the violence will curb the decisive opposition of the Greek workers and the Greek people and their fight for real democracy. The European Commission is a moral accomplice to this police violence because during this recent period it has been demanding the adoption of the second austerity plan at any cost.
The struggle of the Greek people will sweep the government and the political forces that support it.
Because solidarity has been and will always be the peoples’ most precious weapon;
Because our struggle is common;
Same as our friends in many European cities have done last week, the Brussels Solidarity initiative to the Greek people calls to:
A protest rally in front of the Greek Embassy, on Tuesday the 5th of July at 12.30 (Rue des Petits Carmes 10), to condemn the antisocial measures and police barbarity.
An information session with visual material for journalists and interested citizens, on Friday the 8th of July at 18.00 (Rue Rouppe 4).
Solidarity is the weapon of the peoples!
Solidarity initiative to the Greek people – Brussels
http://solidarity-greece.blogspot.com/
[1]As it has already happened: after two referendums, Icelandrefused to reimburse the British and Dutch banks.