Les syndicats grecs appellent à une nouvelle grève générale de 48h à partir de demain.
Les partis gouvernementaux veulent voter, ce dimanche, la réduction du salaire minimum à 520 € et la fin du renouvellement automatique des conventions collectives en cas de désaccords (ce qui équivaut, dans la pratique, à l'abolition des conventions collectives) etc.
La Troïka les presse aussi à réduire les pensions.
Ce sont les conditions pour que les gouvernements européens versent 130 milliards € au gouvernement grec pour lui permettre de rembourser ses dettes aux banques.
C'est le moment d'être solidaires pour défendre les droits sociaux partout en Europe et refuser de payer la dette illégitime.
Les partis gouvernementaux veulent voter, ce dimanche, la réduction du salaire minimum à 520 € et la fin du renouvellement automatique des conventions collectives en cas de désaccords (ce qui équivaut, dans la pratique, à l'abolition des conventions collectives) etc.
La Troïka les presse aussi à réduire les pensions.
Ce sont les conditions pour que les gouvernements européens versent 130 milliards € au gouvernement grec pour lui permettre de rembourser ses dettes aux banques.
C'est le moment d'être solidaires pour défendre les droits sociaux partout en Europe et refuser de payer la dette illégitime.
Rassemblement protestataire demain, 10 février à 17h
devant la Représentation Permanente de Grèce auprès de l'UE
Rue Jacques de Lalaing, 19-21
1040 BRUXELLES
L'action est soutenue par la CNE, EPSU, les Comités Action - Europe
et l'Initiative de Solidarité à la Grèce qui resiste.
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