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Tuesday, September 17, 2013

Gelons les profits, pas les salaires: Manifestation contre le gel des salaires le 26 septembre à 17h.



Départ de la Colonne du Congrès (rue Royale - Bruxelles)

Au nom de la sacro-sainte compétitivité, le gouvernement veut bloquer les salaires en 2013-14, et modifier la loi de 1996 sur la compétitivité pour prolonger ce blocage au delà de 2014.

Soyons nombreux à marquer notre opposition:
> à l'appauvrissement des travailleur/ses au profit des actionnaires
> à la destruction de la liberté de négociation collective des travailleurs

Thursday, May 16, 2013

Initiative's intervention to the event 12 hours for Greece in Brussels




A member of the Solidarity Initiative to the Greek people participated in a debate during the event "12 hours for Greece", on 9 May, alongside Neoliberal pro-austerity figures like MEP Jorgo Chatzimarkaκis and Nikos Yannis, a Commission official.

We reminded the audience of the destruction EU policies have caused in Greece (reduction of life expectancy, increase of infant mortality, doctors and teachers beyond the poverty line, hunger, sell-out of public property, State violence against left-wing opposition) and we made clear that, whoever "worries" about the state of democracy in Greece but doesn't demand the immediate cancelation of the loan agreement and the Memorandum, is just fooling people. Interestingly, other panellists were content to espouse political rhetoric or promote themselves, seemingly out of touch with the reality of the situation.

We also pointed out the contradictions of the event:

"There's a contradiction in the '12h for Greece' event. It is sponsored by the Greek International Business Association and corporations like Aegean and Intrasoft. Last year it was supported by the Greek government, too, through its embassy.
So the same people who promote and apply the policies leading to the radical impoverishment of Greek people are now organising charity for poor kids in Greece.

Bertold Brecht said: "Those who take the meat from the table teach contentment."

The sponsors and organisers of this event support the salary and budget cuts.
Now they are like the executioners that take care of their victims.

As long as we consider unthinkable to default on bankers or governments that imposed odious conditions, but we consider it normal to cut on pensions of 500 euros, weird ironies like today's event will continue to be produced. As long as we don't direct our political activity against the richest 1%, this ruling class will continue exploiting the world.

Join us in the struggle, join the unions, join the Initiative"

Monday, February 18, 2013

Grève générale en Grèce le 20/2 et manifestation des travailleurs en Belgique le 21/2


Lutte commune contre l’austérité de l’UE 

Nederlands hieronder
Ελληνικά πιο κάτω

Ces derniers temps, on assiste en Grèce à une offensive frontale contre l’ensemble des droits et des acquis sociaux des travailleurs. Cette offensive se traduit par une baisse du salaire moyen d’environ 30% ainsi qu’une baisse de 50% des revenus moyens ces deux dernières années.

Selon l’institut de recherches de la GSEE, 3,9 millions de personnes vivent dans des conditions de pauvreté en Grèce. La majorité des salariés ne gagnent pas de quoi couvrir leurs besoins de base et payer leurs factures et autres redevances forfaitaires qui leur sont imposées. Le chômage a atteint des proportions inouies (Près de 30%, et 60% chez les jeunes). Cependant, le commissaire Olli Rehn persiste à dire que le salaire minimum de 410 euros nets est trop élevé et devrait être revu à la baisse en 2014. Les conventions collectives sont en voie d’extinction alors que prolifèrent les contrats individuels de travail partiel et alterné. On réquisitionne des grévistes en invoquant des lois d’exception, applicables en temps de guerre ou lors de catastrophes naturelles et les forces spéciales (MAT) brisent régulièrement les piquets de grève (Métro, travailleurs marins). Au Parlement, cette politique de répression est soutenue avec ferveur par un ex-sympathisant de la junte militaire (1967-1974) et actuellement porte-parole de la majorité à l’Assemblée (Makis Voridis).

Une offensive contre le monde du travail ne vient jamais seule. S’ensuit le piétinement des principes de base de la démocratie avec l’adoption de maintes dispositions anticonstitutionnelles dans le cadre des mémorandums. Le Parlement est relégué à un rôle de ratification d’actes législatifs pré-établis.

Pour toutes ces raisons , une grève générale a été convoquée pour le 20 février. 

Thursday, January 17, 2013

Brussels, Antifascist city - Europe-wide day of action


Solidarity to Athens 19/1
L'Initiative de Solidarité avec la Grèce qui resiste soutient l'action du 19 janvier

In an echo of the events that led to World War II, Europe is once again facing the rise of fascism. As in the 1930’s, when the economic crisis and austerity policies allowed Fascist forces to rise to power, parties that spread racist ideology are gaining a foothold throughout Europe. Nowhere is this frightening trend more apparent than in Greece. Last year, the Neo-Nazi Golden Dawn (GD) party received 6.9 percent in the general election of June garnering 18 MPs, managing to institutionalize their message of hate. GD, now third in opinion polls, routinely organizes street raids in areas with dense Immigrant population, often beating up or even killing people. Their members-MPs included-have been openly committing hate attacks but very rarely convicted. Their MPs, protected under the parliamentary immunity, never miss an opportunity to threaten with violence all those deemed race traitors.

How did we get there?





Friday, October 12, 2012

Soutenez les activistes antifascistes torturés par la police en Grèce

Dimanche 30 septembre, suite à un appel ouvert, une manifestation antifasciste à moto a été réalisée au centre-ville d’Athènes. La manifestation a commencé au quartier d‘Exarcheia.

Cette manifestation serait la réponse aux pogroms fascistes et aux attaques contre des immigrants, qui ont lieu dans plusieurs quartiers d’Athènes, mais aussi ailleurs en Grèce, par des groupes fascistes, déguisés (ou pas) en « comités d’habitants ou de commerçants », dans une impunité totale de la part de la police ou même parfois avec son appui passif. Des liens dangereux entre l’Aube Dorée et la police ont été temoignés maintes fois. Par exemple, des avocats qui portaient plainte de la part d'immigrés-victimes de crime raciste ont été harcelés par des groupes fascistes, qui étaient prévenus, par la police même semble-t-il, de la présence des avocats aux commissariats.

Cette fois-ci, après un premier affrontement des antifascistes avec un groupe de fascistes, la police à moto (dite 'group D') a poursuivi la manifestation. Enfin, 15 militants antifascistes ont été arrêtés ; lors de leur arrestation ils ont été battus sur plusieurs parties du corps : la tête, les bras, les jambes, et un manifestant a aussi subi un choc électrique avec un « taser ».

Les militants arrêtés ont été emmenés au Quartier Général de la Police, où tout au long de la nuit, ils ont été battus, tirés par les cheveux, brûlés, photographiés et filmés par les agents de police qui les surveillaient, et menacés avec une diffusion de leurs données personnelles à l'Aube Dorée. « On vous connaît maintenant, on va vous tuer, comme on a fait avec vos grands-pères pendant la guerre civile ». En plus de ce terrorisme, les militants arrêtés n’ont pas eu le droit de boire de l’eau, ni contacter leurs avocats ni avoir accès à des soins médicaux (alors que certains étaient gravement blessés), pendant 19 heures.

Le lendemain, ils ont été emmenés au Tribunal. Pendant qu’ils se trouvaient dans le Tribunal pour être interrogés, la police a lancé une attaque contre leurs camarades qui étaient ressemblés en solidarité devant le Tribunal ; plusieurs ont été battus, 25 ont été détenus. Les 25 ont été emmenés aussi au Quartier Général de la Police, où ils étaient victimes de la même sorte de terrorisme, obligés de rester nus et de subir des contrôles humiliants, et finalement détenus, de façon vindicative, leur détention pour encore trois jours. Les premiers 15 arrêtés ont été détenus pour encore quatre jours.

Ils sont tous été emmenés au QG, dans une section surchargée (elle est désignée pour 30 personnes, et en ce moment il y en a 80, qui essaient d’y survivre dans de conditions pitoyables).

De faux témoins ont été utilisés (ex. un 'témoin' avait dit le soir même qu'il n'a pas vu des visages, et le matin il a reconnus 4 personnes). Le procureur public, organe du gouvernement, a été tout au long de la procédure complètement aligné avec la police, et a insisté que les 4 soi-disant 'reconnus' parmi les 15 soient mis en prison. Mais les juges ont pris une décision différente, et ont laissé libres tous les 15 arrêtés, 5 jours après leur arrestation. En revanche, la somme de 45000 euros  (3000 euros par personne) leur a été imposée comme garantie. L'Initiative a déjà collecté 70 euros lors de la manifestation de solidarité avec le peuple grec à Bruxelles, le 9 octobre, et va encore collecter des fonds pour les envoyer avant lundi prochain (15 octobre). Ceux qui voudraient faire un virement par carte bancaire pour soutenir les 15, peuvent le faire ici .

Le porte-parole de la police a refusé qu'il y a eu des violences de la part de la police contre les 15. Il devrait être rappelé ici que la police grecque a une longue histoire de violences et d'impunition.

Dans le cadre actuel de la crise financière, où des grandes parties du peuple grec sont jetées dans la pauvreté et la misère, l'Etat soutient de façon plus ou moins ouverte le cannibalisme social et le fascisme incarné par les troupes criminelles de l'Aube Dorée. Le besoin pour un front antifasciste réunissant toutes les forces de la gauche est urgent, qui puisse affronter efficacement l'invasion fasciste et promouvoir la perspective d'une autre société solidaire face à la peur et la haine prêchées par l'Aube Dorée.

Initiative de Solidarité avec la Grèce qui résiste

Ci-dessous, l'article du journal britannique The Guardian sur ce sujet, apparu le mardi 9 octobre, traduit en français:

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Thursday, October 11, 2012

Action de solidarité avec le peuple grec le 9/10, jour de la visite de A.Merkel à Athènes




Une soixantaine de manifestants, membres de l'Initiative, des camarades Belges mais aussi une grande délégation du groupe unifié de la gauche dans le parlement européen (GUE/NGL) se sont rassemblés devant l'ambassade de la Grèce, pour exprimer leur solidarité au peuple grec, en lutte depuis plus que deux ans contre les politiques barbares de l'austérité. Le jour même, des milliers de Grecs sont descendus dans les rues pour protester contre la visite de la chancelière allemande Angela Merkel à Athènes, et les mesures draconiennes antidémocratiques prises par la police pour assurer le 'calme' dans la capitale. 




Angela Merkel a décidé de visiter la Grèce dans un climat social très tendu à cause des politiques austéritaires qui ont mis aux genoux les travailleurs en Grèce.  Elle est venu encourager  le gouvernement grec qui  tremble devant l'expression quotidienne de la colère du peuple contre le nouveau plan des coups budgétaires de 13 milliards d'euros qui va laisser encore plus grandes masses de Grecs dans la pauvreté absolue. La semaine passée des ouvriers de chantier naval qui n'ont pas reçu de salaires depuis 6 mois et des antifascistes ont été arrêtés et maltraités voire torturés par la police. Toutes les organisations du mouvement populaire en Grèce ont appelé à la manifestation lors de la visite de Mme Merkel. Mais la police grecque a interdit tout rassemblement dans une grande partie du centre d'Athènes. En vue de ces faits, l'Initiative a décidé d'appeler à une manifestation de protestation contre la dérive anti-démocratique du gouvernement, et en solidarité avec le peuple grec dans les rues.



Lors du rassemblement ont pris la parole, après l'Initiative, les eurodéputés Nikos Chountis (Syriza), Marisa Matias et Alda Sousa (Bloco de Esquerda, Portugal), ainsi que des représentants de Die Linke et du Socialist Party irlandais, suivis par des militants Belges.

Sunday, September 2, 2012

Acièries Grecques: la suspension de la grève



Le 28 juillet, après 9 mois de grève héroïque, les metallurgistes des Acièries Grecques ont pris la décision de retourner au travail, suivant la proposition de la direction du syndicat lors de leur dernière AG. Cette proposition a été approuvée avec 115 voix pour, 14 contre et 29 abstentions.

La décision d'arrêter la grève est venue suite à une intervention violente de la police qui a illegalement repoussé les grèvistes de la porte de l'usine et a permi la circulation de produits qui avaient resté dans l'usine pendant neuf mois. A l'appauvrissement accru des grèvistes après 9 mois de grève malgré la vague de solidarité ouvrière impressionante de tous les coins de l'Europe et au-délà, est venue s'a ajouté à la fin d'été une attaque médiatique sans précedent avec l'apparition, chaque soir, aux JTs d'auto-proclamés 'représentants' des travailleurs (des personnees non élues proches de la direction et du parti de la Nouvelle Démocratie).
En voyant les voix de soutien à la grève diminuer à chaque AG, la conseil administratif du syndicat à décider de proposer de postposer la grève et de lutter avec d'autres moyens. Les travailleurs ont demandé, en échange, que leurs collègues licenciés soient tous re-embauchés, dont 40 tout de suite, et le reste progressivement jusqu'à la fin de l'année. Ils ont aussi demandé le retrait immédiat des CRS des portes des Acièries Grecques.


De la dernière protestation de
solidarité à Bruxelles
Maintenant, après le retour au travail, les horaires n'ont pas été diminués et la direction a licencié 140 au lieu de 180 ouvriers, comme elle aurait initialement voulu. Le gouvernement a garanti que si l'employeur Manessis fait des nouvelles embauches, il ne peut que choisir parmi les licenciés. Mais la direction a licensié les six ouvriers qui étaient au piquet de grève au moment de l'invasion policière, dont un membre du conseil d'administration du syndicat.  Le CRS ne sont partis de l'usine qu'aprés la fin de la première journée de travail.
Jusque là, aucun grèviste licencié n'a pas été rembauché. Les licensiés ont formé un comité et continuent leur lutte avec le syndicat. 
La grève a fait que les autres usines dans cette région industrielle n'ont pas vu s'imposer des mesures anti-ouvrières (réduction du temps du travail, coups salariaux), comme les patrons l'auraient voulu.

Le compte de banque pour les soutenir est

IBAN: GR 40 0110 2000 0000 2006 2330 152 | BIC or Swift Code : ETHNGRAA Dimitris Liakos  
Ici vous pouvez trouver quelques extraits en français de la décision de l'AG de mettre fin à la grève.

De la dernière protestation de
solidarité à Bruxelles

Monday, July 16, 2012

Rassemblement de soutien avec le peuple espagnol: 19/7 @ 19h place Lux, Bruxelles



Les Comités Action Europe, Comisiones Obreras et UGT  appellent à un rassemblement de soutien avec le  peuple espagnol.

Une attaque sans précédent contre l’État-providence et la démocratie.
Nous rejetons les coups du gouvernement espagnol !

Les nouvelles coupes budgétaires décidées par le Premier ministre, Mariano Rajoy, et par le parlement, constituent une agression sans précédent, non seulement contre les droits des travailleurs, mais aussi contre les fondements de la Constitution et donc de la démocratie même.
Le plan du gouvernement signifie la démolition de l’État-providence et des politiques publiques. Il s’inscrit dans la continuité de mauvaises recettes qui font payer la facture de la crise par la majorité de la population et non par ceux qui l’ont causée.Les mesures proposées visent à augmenter la TVA, réduire les allocations de chômage, baisser les salaires du secteur public, privatiser … Comme les gouvernements grec ou portugais le font sans que ça n’améliore nullement leur situation.

Pour réagir, les principaux syndicats, l’Union générale des travailleurs et Commissions ouvrières organisent des manifestations le 19 Juillet dans toutes les provinces d’Espagne. Ils appellent aussi les résidents espagnols en Belgique à se mobiliser.
En solidarité avec le peuple espagnol et pour marquer notre rejet des politiques d’austérité, nous appelons à un rassemblement jeudi 19 Juillet à 19h qui partira de la place du Luxembourg pour rejoindre l‘Ambassade d’Espagne, rue de la Science.

Friday, May 18, 2012

L'Irlande vote NΟΝ pour nous!



Rassemblement de solidarité organisé par CEO, la Centrale Nationale des Employés (CNE), les Comités Action Europe (CAE) et Ander Europa à Mercredi 23 Mai à 18h sur Rue la Loi 220 entre Schuman et Cinquantenaire - Bruxelles 1000

Le 31 mai, il y a en Irlande un référendum sur le

TRAITÉ EUROPÉEN DE L'AUSTÉRITÉ

Les 31 mai, les Irlandais peuvent dire ce qu'en pensent les autres Européens aussi



Les leaders européens voudraient que nous payions l'échec de leur politique catastrophique

Ils veulent en finir avec la démocratie dans la politique budgétaire et économique, en nous imposant une dictature des ''experts''

Nous disons NON

Nous demandons aux Irlandais d'être aussi notre porte-parole le 31 mai!

Arrêtons les politiques injustes et anti-démocratiques de l'auterité maintenant!


RASSEMBLEMENT

 mercredi 23/5/2012, 18h

rue de la Loi 220 (entre Schuman et Cinquantenaire) 1000 BRUXELLESsi:

Friday, May 11, 2012

Les rouages de la crise financière, Cinema Nova 13.05 à 19h

Crise des subprimes, faillite de la banque d’affaires Lehman Brothers, mise à sac de la Grèce, premières mesures d’austérité en Belgique au nom du "pacte de stabilité européen", récession dans toute la zone euro. La liste s’allonge inexorablement. Fatalité ? En l’espace de deux soirées, alternant films et discussions avec des économistes et des penseurs hétérodoxes, nous tenterons de comprendre les tenants et aboutissants d’une machinerie financière qui donne le tempo à un monde devenu globalisé.



Les rouages de la crise financière

La première soirée sera axée sur la compréhension de la crise actuelle, crise de la dette en Europe mais aussi et surtout crise économique et crise de la finance globale. Elle s’articulera autour de quatre petits films de courte durée circulant sur internet, qui présentent l’un ou l’autre aspect de cette crise : les subprimes, la création monétaire, le rôle des banques centrales, les dettes souveraines. S’ils se veulent pédagogiques, chacun de ces films n’en véhicule pas moins des conceptions de l’économie et de la finance qui ne manquent pas de susciter des débats. Chaque projection sera suivie d’une discussion autour des problématiques abordées dans le film, tant avec les invités que le public. Après une première volée de discussions, un second film sera projeté, suivi d’une nouvelle discussion et ainsi de suite.
Pour cette soirée, seront présents :