Initiative d'un groupe de Grecs, qui vivent et travaillent à Bruxelles, et qui visent à informer le public belge des luttes actuelles en Grèce et de créer une vraie solidarité entre les luttes qui ont lieu dans notre pays natal et celles de notre 'deuxième' patrie.
Wednesday, December 1, 2010
Monday, September 27, 2010
H πρωτοβουλία πάει Ευρωπορεία
On vivra plus mal que nos parents... Merci à l’Union Européenne et au FMI !
L’Initiative de Solidarité à la Grèce qui résiste est animée par de jeunes Grecs habitant à Bruxelles et d’autres personnes solidaires au peuple grec.
Six mois après le lancement des premières mesures d’austérité en Grèce, on voit déjà les premiers résultats catastrophiques: explosion du chômage, augmentation de la pauvreté et manque total de perspective de relance.
Le programme UE-FMI pour la Grèce est le modèle-type de toute opération de «sauvetage» en Europe. Ceci signifie des profits pour les grosses banques et entreprises nationales et européennes et un véritable carnage social pour les autres.
Nous participons à l’Euro-manif du 29 septembre avec les propositions suivantes que nous jugeons essentiels pour la contre-attaque sociale :
- Des banques publiques sous contrôle démocratique
- Plus de services publics
- Santé et Education publiques, de qualité et gratuites
- Renforcement des droits des travailleurs
- Stop au colonialisme du ‘centre’ contre la ‘péripherie’ de l’UE
- Priorité au bien-être de la grande majorité des citoyens et non pas à l’Euro
Wednesday, September 22, 2010
Euro-demonstration 29 September 2010
Euro-manifestation 29 septembre 2010 : « Non à l’austérité. Priorité à l’emploi et à la croissance ! »
Euro-demonstration 29 September 2010 : "No to austerity – Priority for jobs and growth! "
Qu’est ce qui se passe vraiment en Grèce?
Et pourquoi faut-il arrêter la propagation de “solutions” similaires à d'autres pays?
Un groupe de gens ayant vécu en Grèce et en Belgique raconte :
Détruire les mythes
Mythe n° 1: La crise de la dette grecque a éclaté à cause du secteur public pléthorique
La crise de la dette grecque est souvent attribuée à son secteur public qualifié de “pléthorique”. Mais le taux de dépenses publiques en pourcentage du PNB place la Grèce en dessous de la moyenne de la zone euro, les chiffres correspondants de l’Allemagne et de la Belgique étant beaucoup plus élevés[1]. Entre 2002 et 2006 les dépenses publiques ont chuté, et n’ont augmenté que lors de la période de récession globale, et en grand parti "grâce" aux sauvetages des banques.
Une grande partie de la presse financière a également accusé le taux de dépenses "excessif" consacré aux salaires des fonctionnaires, en pourcentage du PNB, pour la crise. Cette figure a diminué de 11% en 1995 à un peu plus que 10% en 2008 dans la zone euro, alors qu'en Grèce elle a grimpé de 10% à un peu plus de 11%[2]. Il est évident qu'une augmentation si faible ne saurait justifier le déficit existant.
Les dépenses publiques irrationnelles pour les armements ont toujours existé, et pour cette raison elles ne peuvent pas être tenues responsables de la crise du déficit public; toutefois, elles constituent un facteur aggravant pour les finances du pays. Certains politiciens allemands et autres, qui se plaignent de "l'excès de solidarité envers la Grèce" font semblant d'oublier le point que leurs propres pays sont dépendants des dépenses militaires grecs pour faire (sur)vivre leurs industries militaires.
L'origine principale du déficit actuel ne se trouve pas dans l'excès de dépenses, mais plutôt dans l'incapacité de l'Etat à générer des revenus fiscaux[3]. La réduction des taux des impôts appliqués aux entreprises et l'évasion fiscale des grandes compagnies et des grandes fortunes ont amené le déficit grec à son record présent: il est estimé que €20 milliards sont toujours dus à l'Etat grec par pas plus que 8.000 personnes et entreprises, ayant commis des fraudes fiscales avérées[4]. Ce montant équivaut au double du montant du déficit que la Grèce a dû refinancer le 19 mai.
Les faiblesses structurelles de l'économie grecque l'ont transformée en proie pour les spéculateurs. Mais à qui la faute pour ces faiblesses? Les régimes d'austérité qui se pérennisent pendant les dernières décennies, et qui sont également liées à l'agenda européen de libéralisation ainsi que l'entrée du pays à la zone euro, ont conduit à une croissance économique de court terme, plutôt qu'à un développement réel. Cette "croissance" a été fondée sur des secteurs sans perspective à long terme, comme le transport de commodités et la vente de biens publics, au profit d’une petite élite grecque. L’opacité des rapports présentés par le gouvernement grec y a aussi contribué. Mais le gouvernement grec n’est pas le seul coupable dans l’affaire : ils ont eu pour complices des banques mondiales comme Goldman Sachs, qui était embauchée par le gouvernement grec en tant que consultant, et qui fait maintenant l’objet de poursuites judiciaires aux Etats-Unis. Eurostat s’est montré assez inefficace dans son évaluation des données fournies par la Grèce et les autres gouvernements de l’Union Européenne ont préféré ignorer les preuves de falsification, puisque ça ne servait pas leurs intérêts d’ouvrir ce dossier avant qu’il ne soit trop tard pour éviter la catastrophe[5].
La crise du déficit grec n’a atteint son pique qu’au moment ou les spéculateurs ont choisi la Grèce comme cible intermédiaire pour s’attaquer a l’euro. La spéculation financière a fait exploser le cout du crédit et a rendu le cout de refinancement du déficit insoutenable. En effet, la taille absolue de la dette grecque est limitée (comparée, par exemple, à celle de l’Italie), et ce qui la rend facile à manipuler. De plus le choix de la Grèce en tant que cible pour cette attaque était juste une question de conjoncture. Les bonds grecs allaient expirer avant ceux du Portugal. Il faut également noter qu’on trouve parmi les spéculateurs des grandes banques françaises et allemandes, détenteurs de la plus grande partie de la dette grecque[6]. Deutsche Bank a constamment publié des scénarios catastrophiques concernant la situation de l’économie grecque depuis le début de l’année et a fait du lobbying pour continuer la spéculation a travers les Credit Default Swaps[7]. Plusieurs Etats de l’UE ont fermé les yeux devant cette spéculation, qui pourrait bien avoir servit les intérêts de leurs grands exportateurs. Pour l’Allemagne, comme pour tous les pays de la zone euro, le cout du crédit a diminué suite a la crise de la dette grecque, et l’euro moins fort a poussé à la hausse les exportations allemandes, ouvrant ainsi à l’économie allemande une voie de sortie de sa pire récession des 40 dernières années. Le Premier Ministre italien Silvio Berlusconi a récemment déclaré qu’il ne s’inquiète pas de la chute de l’euro car ‘c’est bien pour les exportations italiennes’. Le Ministre français des Finances a déclaré que l’Etat français va même tirer du profit de la dette grecque[8]; cela ne ressemble pas à un grand défilé de solidarité à un pays de la zone euro qui s’est trouvé au milieu du cyclone.
Friday, June 25, 2010
What is really happening in Greece and why the propagation of such practices should be prevented
A group of people having lived in
Diluting Myths
Myth 1: Debt crisis occurred because
The Greek debt crisis is often attributed to the country’s ‘bloated public sector’. To start with, Greek public expenditure as a percentage of
A large part of the financial press attributed the crisis to ‘excessive’ government wage expenditure as a percentage of
Irrational public spending on armaments has always been there, and therefore it cannot be held liable for the deficit crisis; it is however one of the factors that have deteriorated the country’s finances. Some German and other politicians that have complained about the ‘excessive solidarity displayed towards Greece" miss the point that their own countries are at the same time depending on the Greek military spending to support their military industries.
The current deficit is mainly due to the inability of the state to generate tax revenues, rather than due to increased spending[3]. The reduction of corporate tax rates and the illegal tax evasion by big corporations and wealthy individuals has brought the Greek deficit at its present heights: it is estimated that €20 billion are still owed today to the Greek state by no more than 8,000 persons and businesses recorded to have committed tax fraud[4]. This is twice the amount of debt that
Structural weaknesses of the Greek economy exposed it to speculative attacks. But who is to blame for these weaknesses? The continuous austerity regimes of the last decades, also linked with the European liberalisation agenda and the country's entry into the Eurozone, have led to a superficial and short-term development rather than a real one. "Development" was supported by sectors with no long term perspectives, like transportation of commodities and selling away public property, to the interest of a small Greek elite. The Greek governments' obscure reporting of Greek public finances is also to blame. But they were not alone on this: the mess has been created in cooperation with global banks like Goldman Sachs, which was hired as a consultant by the Greek Government, and is now under legal inquiry in the
The defiicit crisis took its gigantic dimensions only when speculators chose
Sunday, June 13, 2010
Προσομοίωση χρεοκοπίας της Ελλάδας από τη Deutsche Bank
σύμφωνα με δημοσίευμα των Financial Times Deutschland. Σύμφωνα με την
εφημερίδα, κατά τη διάρκεια παρουσίασης σχετικά με τις επιπτώσεις που
θα είχε για τη γερμανική τράπεζα ενδεχόμενη χρεοκοπία της Ελλάδας, ο
επικεφαλής του τμήματος αντιμετώπισης κρίσεων της τράπεζας Hugo
Bänziger υποστήριξε ότι η Deutsche Bank είναι προετοιμασμένη να
αντιμετωπίσει σε ικανοποιητικό βαθμό ένα τέτοιο ενδεχόμενο, εκτός,
βεβαίως, από την περίπτωση που θα κατέρρεαν οι αγορές και η κρίση
επεκτεινόταν και σε άλλες χώρες. Από την πλευρά του ο Έλληνας
πρωθυπουργός διαψεύδει εκ νέου της φήμες περί χρεοκοπίας της Ελλάδας,
τονίζοντας ότι η χώρα πρέπει να επενδύσει στο ανθρώπινο κεφάλαιο και
στην ύπαρξη κοινωνικού κράτους.
Στο δημοσίευμα των Financial Times Deutschland εκφράζεται επίσης η
απορία για τη χρονική στιγμή που επιλέχθηκε να προβληθεί η εν λόγω
προσομοίωση, ενώ δηλαδή είναι νωπή ακόμη η απόφαση χορήγησης δανείων
ύψους 110 δις. € ακριβώς για αποτραπεί ενδεχόμενη χρεοκοπία της
Ελλάδας.
Η τράπεζα επιμένει σταθερά στη γραμμή του προέδρου της Josef
Ackermann, διατηρώντας τις αμφιβολίες της ως προς τη δημοσιονομική
σταθεροποίηση της χώρας. Από την πλευρά τους, αναλυτές χαρακτηρίζουν
«απροσδόκητη» και «ασυνήθιστη» την κίνηση αυτή, υπογραμμίζοντας ότι
καμιά άλλη ευρωπαϊκή τράπεζα δεν έχει επεξεργαστεί μέχρι τώρα δημοσίως
ένα τέτοιο σενάριο.
Την ίδια ώρα, η Wall Street Journal επικεντρώνεται στην αύξηση των
φημών περί χρεοκοπίας και επιστροφής της Ελλάδας στη δραχμή,
επισημαίνοντας ότι χρειάζεται εξαιρετική προσοχή από τους
ενδιαφερόμενους επενδυτές. Σύμφωνα με την εφημερίδα, μπορεί να
υπάρχουν πολλοί λόγοι για να πωλήσει ή να αγοράσει κανείς ελληνικά
παράγωγα, αλλά η τεχνητή καταστροφολογία δεν αποτελεί έναν από αυτούς.
Η Wall Street Journal αναφέρει επίσης χαρακτηριστικά ότι οι εκπρόσωποι
Τύπου του Έλληνα πρωθυπουργού και του υπουργείου Οικονομικών «έχουν
κουραστεί να εκδίδουν ανακοινώσεις διάψευσης».
«Πολλοί παίκτες στην αγορά γνωρίζουν ότι βρίσκονται σε επικίνδυνα και
αχαρτογράφητα νερά, αναφορικά με τη συνεχή φημολογία που περιβάλλει
την Αθήνα. Κάποιοι υποψιάζονται ότι οι φήμες ξεκινούν από χρηματιστές
που έχουν συμφέρον να προωθήσουν ανάλογες θέσεις. Δυστυχώς όμως, οι
επενδυτές θα συνεχίζουν να συναλλάσσονται βασιζόμενοι σε φήμες που
είτε περιέχουν κάποια αληθινή πτυχή είτε κάποια πτυχή αναστάτωσης που
μπορεί να δημιουργήσει πανικό» υπογραμμίζει η εφημερίδα.
Γ. Παπανδρέου: Η Ελλάδα δεν θα χρεοκοπήσει
Σε συνέντευξή του στην αυστριακή εφημερίδα «Ντερ Στάνταρντ», ο Γιώργος
Παπανδρέου διαβεβαιώνει ότι η Ελλάδα δεν κινδυνεύει πλέον από
χρεοκοπία, ζητώντας παράλληλα από την Ευρώπη να μην προβεί σε
εξοντωτικές οικονομίες, αλλά να επενδύσει για την ανάπτυξή της και,
προκειμένου να αποκτήσει πόρους, να θεσπίσει φόρους χρηματοοικονομικών
συναλλαγών και να προχωρήσει στην έκδοση Ευρωομολόγων.
Αναφερόμενος στην ανάγκη ενίσχυσης της ανταγωνιστικότητας, ο
πρωθυπουργός επισημαίνει πως η Ελλάδα διαθέτει προϊόντα για
εξειδικευμένες αγορές -μπορεί να παίξει σημαντικό ρόλο στον τουρισμό,
στη γεωργία, στον τομέα ανανεώσιμων πηγών ενέργειας- αλλά και με τον
μεγάλο αριθμό άριστα εκπαιδευμένου εργατικού δυναμικού, δυνατότητες
που άφησαν ανεκμετάλλευτες και δεν επένδυσαν σε αυτές, οι προηγούμενες
κυβερνήσεις, προκαλώντας πολλά χρέη χωρίς τη δημιουργία ανταγωνιστικής
οικονομίας.
«Η κυβέρνηση έχει κάνει τα πάντα για να αποτραπεί η απειλή κινδύνου
απώλειας της δουλειάς, της σύνταξής τους και του ευρώ, με την οποία
ζουν εδώ και οκτώ μήνες οι Έλληνες που ταράζονται από φημολογίες και
φόβους» σημειώνει ο Γ. Παπανδρέου και προσθέτει πως «πέρα από τις
μειώσεις στη δημόσια διοίκηση και στα χρέη σε εθνικό επίπεδο, θα
πρέπει να εξεταστούν οι δυνατότητες επενδύσεων από την Ευρώπη και να
αναδειχθεί ο φυσικός πλούτος».
Επισημαίνοντας ότι «χρειαζόμαστε περισσότερη και όχι λιγότερη Ευρώπη»,
ο Έλληνας πρωθυπουργός αναφέρει ότι, κατά τη διάρκεια της κρίσης, η
Ευρώπη αντέδρασε γρήγορα και συνεργάστηκε, «η ιδέα της ευρωπαϊκής
αλληλεγγύης είναι πραγματική και ήταν πολύ βασικό να γίνει αυτό ορατό,
καθώς πολλές διακυμάνσεις οφείλονταν στον ισχυρισμό ότι η Ευρώπη δεν
ήταν ικανή να αντιδράσει».
Απαντώντας σε σχετική ερώτηση, ο κ. Παπανδρέου εκφράζει την άποψη πως
μέσα στους περασμένους μήνες υπήρξε πληθώρα δυσκολιών, αλλά η περίοδος
των αποφάσεων για τη λιτότητα ήταν η σκληρότερη. «Όμως, από την άλλη
πλευρά, ορισμένες φορές απαιτείται η λήψη δύσκολων αποφάσεων»
καταλήγει.
πτώχευσης. «Ζητάμε τον αναγκαίο σεβασμό και ηρεμία ώστε να κάνουμε την
δουλειά μας κάτω από τις καλύτερες συνθήκες, ώστε οι πολίτες μας να
μην τρομοκρατούνται κάθε μέρα με φήμες για απώλεια των χρημάτων τους,
για επιστροφή στην δραχμή και για έξοδο από την ευρωζώνη. Αυτά είναι
ανοησίες, και ταυτόχρονα είναι επικίνδυνες (πρακτικές) καθώς
υπονομεύουν τις προσπάθειες μας να προχωρήσουμε τις αλλαγές στην χώρα
μας» υπογράμμισε.
Από εδώ.
Κινητοποιήσεις αλληλεγγύης προς την Ελλάδα στη Γερμανία
Thursday, May 20, 2010
Manifestastion de solidarité avec la grève générale en Grèce, Bruxelles 20/05/2010
Plus de photos ici, ici et ici.
Le communiqué de presse
EN below
Manifestation de solidarité avec le peuple grec à Bruxelles
Protestation devant le Conseil et la Commission Européenne, la Représentation Permanente Grecque , la Fédération Européenne des Banquiers et le lobby des produits dérivés
En imposant des mesures d’austérité injustes à plusieurs pays européens, l’UE et le FMI prennent clairement le parti des banquiers qui, même après leurs plantureux bonus de plusieurs milliards d’euros, exigent encore et toujours leur livre de chair. Rappelons aujourd’hui à l’UE et au FMI que l’Europe c’est d’abord des travailleurs et non des banquiers, des spéculateurs ou des escrocs.
Plusieurs actions sont organisées aujourd’hui à Bruxelles et partout en Europe en solidarité avec les travailleurs grecs qui, au travers d’une grève générale, s’élèvent contre des mesures draconiennes sans précédent visant à faire payer à la majorité la crise initiée par une minorité.
La crise a été provoquée par les banques et les fonds spéculatifs, pas par les retraités grecs. Elle a été provoquée par les multinationales, pas par les infirmières portugaises. Elle a été provoquée par les marchés, pas par les étudiants espagnols. L’élite, par des choix conscients, a privilégié une rentabilité à court terme aux dépens de la stabilité du système. 20 Milliards d’euros sont toujours dus à l’état grec par à peine 8,000 personnes et sociétés, reconnues coupables de fraude fiscale.
Les états européens ont rencontré des problèmes de déficit budgétaire parce qu’ils ont renfloué des banques privées, et non parce qu’ils auraient surpayé des travailleurs grecs ou leur auraient accordé trop d’avantages sociaux. Alors qu’elle rentrait dans la crise, la Grèce avait possédait un des systèmes de protection sociale les plus faibles d’Europe. Du prix du pain au loyer, le coût de la vie explose alors que les salaires chutent et les emplois disparaissent. En dépit du cliché largement répandu, le nombre d’heures de travail moyen par salarié en Grèce est parmi les plus élevés d’Europe (données OCDE), alors que les heures supplémentaires restent souvent impayées.
Comme les centaines de milliers de grévistes aujourd’hui en Grèce, nous affirmons que les mesures d’austérité brutales UE/FMI ne sont PAS la solution mais ne feront qu’aggraver la crise ! Réduire les dépenses publiques, remettre en cause les acquis sociaux et appauvrir la majorité, ne peut qu’amplifier le phénomène de récession.
Sacrifier la cohésion sociale à l’appétit des marchés est un crime contre la démocratie . Les peuples grec, portugais ou espagnol n’ont pas fait de tels choix. Il se peut que les marchés le souhaitent ; il se peut même qu’ils l’exigent, mais rappelons nous qu’il n’existe aucun mandat démocratique pour cela.
Déjà, les vautours des marchés tournent au dessus de l’Espagne, du Portugal, de l’Italie et de l’Irlande. Là comme ailleurs, l’Etat-providence est la cible de soi-disant « réformes nécessaires ». Ces attaques doivent stopper en Grèce avant de s’étendre à toute l’Europe. De Bruxelles à Athènes, nous marchons, protestons et défilons pacifiquement contre les plans UE/FMI. Mais, même si nous marchons en paix, que les marchés et les politiciens ne se méprennent pas : nous sommes en colère, plus en colère encore que ce que nous n’avons jamais été.
- Ne touchez pas aux droits sociaux et au droit du travail !
- Faites payer la crise aux banques !
- Le programme FMI – UE n’est pas la seule option ! C’est un désastre social !
- Endiguez la contagion de « solutions » similaires à d’autres pays !
Declarations d'appui:
Gauche Unitaire Européenne / Nordic Green Left
Oikologoi Prasinoi (Parti Vert Grec)- Michalis Tremopoulos, MEP
Couverture de la manifestation dans la presse:
Belgique
Le Soir
De Wereld Morgen
Brusselnieuws
France
Le Monde
Cuba
Prensa Latina
Grèce
TVXS
Ελευθεροτυπία
Ναυτεμπορική
Καθημερινή
Express
Αδέσμευτος
English text below:
Monday, May 17, 2010
Demonstration in Brussels on 20 May
- Our Solidarity to strikers and demonstrators in Greece
- Our Denunciation of government state repression: the violence used by the police against people protesting peacefully for their rights, the undercover police and para-state groups that mingle in the demonstrations in order to tarnish them.
- Our Repugnance for the crime that led to three people losing their lives during the demonstration of May 5th, a crime of which the perpetrators remain unknown. It is only fair that the owners of the Bank where the incident took place bear part of the responsibility, since the building breached all safety regulations.
- Our conviction that there is a viable alternative to the IMF loan: it is the Renegotiation of the Greek debt, on the basis of safeguarding the standards of living both in Greece and throughout Europe and not the profits of banks.
- The need for Defence of Public Services and Social Rights
- The demand for the crisis to be paid by the ones who provoked it and then benefited from governmental financial aid, i.e. the private banks.
- The call for Democratic control over banks
- The need to Regain democratic control and people’s sovereignty over monetary policy
Links
Two of the participants in the initiative spoke to Radio Panik about Greece, our targets and the demonstration. clic
Saturday, May 15, 2010
Solidarity in Sweden
Το συνδικάτο καλεί και άλλα συνδικάτα καθώς και ελληνικές οργανώσεις, άλλες μεταναστευτικές και κοινωνικές οργανώσεις να συμμετάσχουν στην διαδήλωση. Η διαδήλωση θα γίνει στις 5 το απόγευμα στο κέντρο της Στοκχόλμης, Sergels Torg και θα γίνει πορεία προς τα γραφεία της Ευρωπαικής Ένωσης και την Ελληνική πρεσβεία.
Την κρίση να πληρώσει το κεφάλαιο και όχι η εργατική τάξη!
Όλοι στην διαδήλωση!
from here